Une personne sur trois se masturbe au travail : cette activité améliorerait la productivité

La masturbation figure parmi les sujets tabous de la sexualité. Pourtant, il s’agit d’une habitude répandue. Les équipes du Time Out New York, un célèbre magazine culturel, ont réalisé une étude visant à analyser les plaisirs solitaires sur le lieu de travail. Le résultat est incroyable, 39% des personnes interrogées s’adonnent à cette pratique. Elles ont souligné les nombreux avantages !

 Une activité qui favorise la détente

La masturbation réduit le stress. Crédit : Pixabay

Beaucoup de gens ont pensé que la masturbation s’effectue seulement dans le cadre intime de la maison. D’après cette étude, la présence d’autres personnes n’est pas du tout un obstacle. Il suffit de s’isoler dans les toilettes et le tour est joué. Pourquoi ces employés prennent-ils un tel risque ?

Les pratiquants aiment se faire plaisir. Comme la relation intime, le plaisir solitaire favorise l’émission d’endorphine. Cette hormone influe sur le taux de stress, elle le réduit de manière conséquente.

Les travailleurs ont des objectifs à atteindre. Il est donc normal qu’ils cherchent à déstresser un peu. Les deux sexes sont concernés. Les témoignages de femmes relatifs à ce sujet sont nombreux.

Les employés amélioreraient leur estime de soi

Cela boosterait la confiance en soi. Crédit : Pixabay

Certains psychologues relient la masturbation à la timidité.
Les individus qui le pratiquent n’auraient pas assez de courage pour aborder un partenaire. L’hypothèse émise par les chercheurs de l’Université de Michigan va dans ce sens. En cas de blues, un petit plaisir rapide remonterait le moral et la confiance en ses capacités.

Les enquêteurs se sont aussi intéressés à la fréquence de cet acte. Là encore, le résultat est surprenant ! Certaines personnes sont tellement actives qu’elles le font trois fois par jour. Apparemment, elles ne sont pas victimes d’un coup de barre ou d’un endormissement après avoir atteint le nirvana.

Crédit : Piqsels

Cependant, la pratique est parfois risquée. Pris en flagrant délit, un travailleur canadien fut licencié par son employeur.

Selon vous, ce motif est-il valable ?